Le deuxième chapitre du livre « tant que le café est encore chaud », qui se déroule au Funiculi funicula, un petit café de Tokyo où l’on peut revivre un moment précis de son passé le temps d’un café, est tout aussi plaisant à lire que le premier épisode. Sept ans après le premier tome de la série, nous retrouvons Nagare, Kazu et la petite Miki. Les quatre nouvelles traitant de la clientèle nous révèlent plus sur les histoires antérieures de chaque personnage iconique du café, incluant la présence énigmatique de la femme en blanc.
La rencontre est marquée par des émotions, un sens de la délicatesse et une grande bienveillance. Les personnages sont émouvants, délicats et font preuve d’une belle empathie.
Ce livre m’a uniquement privé du plaisir de révéler des choses nouvelles et de l’aura mystérieuse que j’avais ressentie avec le premier ouvrage.
CITATION
« S’il est des choses dont on ne peut parler qu’avec des proches, il en est d’autres, à l’inverse, qu’on ne peut confier qu’à de parfaits inconnus. »
NOTE
